La CPR d’hier était la dernière de cette mandature, elle laissera place à la nouvelle instance de représentation du personnel, le CSE, dès le début de l'été. C'est sans aucun regret que nous verrons disparaitre définitivement cette instance d'un autre âge, véritable chambre d'enregistrement où la voix et les objections des représentants du personnel étaient rarement prises en compte.

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L'ultime réunion de négociations en début de semaine n'aura pas permis d'avancées déterminantes pour les enseignants au statut sauf pour ceux de l'UTEC dont les conditions de travail, nous promet-on vont finir par s'accorder avec celles de l'ensemble du personnel enseignant. Dans un revirement spectaculaire dont seule la CCIR a le secret, tout ce qui était impossible pour ces derniers, il y a moins de 15 jours le devient aujourd'hui. Dispense de service de 35 jours, planification sur 40 semaines, coefficients, forfait d'activité… bravo ! Il est donc bien possible d'aligner le traitement des agents de la CCIT 77 sur l'ensemble du personnel de la CCIR.

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Sous couvert d'avancées de la négociation en matière de coefficients et de valorisation des heures supplémentaires, DGA-éducation et DGA RH sanctuarisent les nombreux  dévoiements de l'actuel titre III. Les écarts entre l'accord signé en 2017 et ce que nous observons dans les EESC aujourd'hui deviennent la norme des propositions qui ont été présentées aux partenaires sociaux le 16 février. Quant aux enseignants de  l'UTEC, malgré la présence de leur directeur et du directeur général de la CCIT 77, ils restent désespérément sur le bord du chemin. 

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De manière globale, la rencontre d'hier ne s'est pas conclue sur des avancées majeures. Pour les collègues de l'UTEC retour à la case départ (sauf les 5 jours de dispense de service en plus) avec un refus de la CCIT du 77 d'harmoniser les conditions de travail des enseignants avec celles de l'ensemble du groupe.

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Alors que les CFA des CCI en région depuis la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel se portent à merveille, les écoles de la CCI peinent si l'on en croit les dires de nos directeurs généraux à se mettre à flot. Bien qu'une partie des écoles de la CCIR parviennent à l'équilibre financier, battent des records de réussite aux examens, que la CCIR investit pour 60 millions d'euros dans le rachat d'une école, "nos écoles ne sont plus dans l'excellence opérationnelle…" peut-on entendre dans les couloirs de la DGA éducation. Cela a de quoi surprendre, quel niveau aurions-nous atteint si nous avions été mauvais ?    

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